Parce que
Parce que quand on a tant prôné la liberté, elle vous revient parfois en pleine gueule, au moment où vous vous sentiez moins seul.
Parce qu’il y a des mots qui claquent au visage. De grandes gifles qui vous assomment, l’espace d’un instant, mais, qui l’instant passé, vous fait dire que, désormais, rien ne sera plus pareil.
Parce que je crois que je t’aime, et que parfois, je me dis que c’est bien dommage.
Parce que j’ai mal, tout simplement. Mal au bide.
Parce que ma seule attache, c’est ce chat tatoué il y a 3 ans.
Et parce que d’un coup, j’ai peur de te perdre.